vendredi 11 janvier 2008

DALAI LAMA PAYÉ PAR LA CIA

Voici l'article dont presque tout le monde s'est inspiré, ces temps-ci, pour écrire sur le Dalai Lama et sa connection avec la CIA : Behind Dalai Lama's holy cloak par Michael Backman.

L'article dit que le Dalai Lama s'est exilé de son pays en 1959 en tant que chef du gouvernement et non en tant que chef spirituel. Il était un moine aristocrate au pouvoir collectant des taxes, emprisonnant et torturant les dissidents et pris dans toutes les intrigues politiques habituelles.

Lors de son exil en Inde, il recevait 1,7 millions de dollar par année de la CIA jusqu'en 1970 pour faire la guérilla aux frontières chinoises. Il a tout de même reçu le prix Nobel de paix en 1989.

De 1959 à 1974, il était sur la liste de paie de la CIA et recevait 15 000 $ par mois (180 000 $ par année). L'argent lui était versé personellement.

Lire la suite dans les articles que je vous propose plus bas.
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M. Backman s'est lui fort probablement inspiré de ces deux articles en français à lire absolument. Vous y trouverez les sources des informations, sources qui sont manquantes partout ailleurs sur le net à ce sujet :
Les Chinois ont-ils liquidé les Tibétains ?
Tibet • Le programme politique du Dalaï-Lama sous la loupe

VOITURE LA MOINS CHÈRE AU MONDE

Elle est fabriquée par les Indiens de Tata Motors, coûte 1 700 euros (2 500 dollars), ne dispose ni de la climatisation, ni de vitres électriques, est aux normes environnementales françaises et à un moteur de 630 cm3. Voici la Nano, auto-proclamée voiture du peuple par Ratan Tata, PDG de la marque. Le président du conglomérat indien espère en vendre un million par an et en a produit 250.000 exemplaires pour l'année 2008. Elle est deux fois moins chère que la voiture la moins chère existante. En comparaison, la Logan de Renault coûte 5 000 euros en Roumanie et 7 500 en France. PIERRE BOHM/DSS

Vidéo de présentation de la Nano de Tata Motors :

VOITURE SANS CONDUCTEUR

On voit depuis longtemps dans les salons, des prototypes de voitures automatisées, mais cette fois-ci la question de leur commercialisation a été abordée. Lors d'une présentation au CES de Las Vegas, Rick Wagoner, PDG de General Motors, a avancé l'échéance de 2018. Le modèle, une Chevrolet 207 équipée avec l'aide de plusieurs firmes high-tech. Sur le toit, une grosse bobine cylindrique tourne sans arrêt, elle intègre 64 lasers qui envoient des millions de bits d'informations par seconde sur l'espace environnant. Tout autour de la voiture, des radars à émission de lumière ou de son repèrent les obstacles, jusqu'à une vingtaine de mètres. "Elle sait circuler dans un parking et se garer entre deux voitures, puis sortir de sa place en arrière, mieux que tous les gens que je connais", explique l'ingénieur Bob Bittner, chef du projet. Même si le défi technologique ne parait pas insurmontable en dix ans, l'automatisation complète n'est pas sûre d'envahir le marché, on voit mal tous les utilisateurs abandonner le controle complet de leur véhicule et les pouvoirs publics souhaiteront encadrer légalement et juridiquement ces transformations. @desourcesures


S'ÉCLAIRER AVEC DU PURIN

Des céréales et du purin pour s'éclairer durablement

Avec une puissance record de 20 mégawatts, la centrale de biogaz installée près de la frontière germano-polonaise peut fournir 40 000 habitants en électricité.

De l'autoroute qui relie Berlin à la frontière polonaise toute proche, l'usine installée à la sortie du petit village de Penkun, à l'extrême est de l'Allemagne, ressemble à s'y méprendre à un dépôt d'hydro­carbures, l'odeur nauséeuse en moins. Seules de vagues effluves d'herbes fermentées ou de choucroute trahissent les processus microbiologiques à l'œuvre dans les quarante « digesteurs » que la société Doric Asset Finance, basée à Offenbach, est parvenue à sortir de terre en un peu plus de dix-huit mois. Des centaines de tonnes de maïs, de blé et de purin fermentent quotidiennement dans ces cuves de béton circulaires, d'une capacité de 2 500 m³, où elles dégagent du méthane (50 à 55% du biogaz produit) qui est ensuite transformé en chaleur et en électricité grâce aux moteurs de cogénération installés sur chacun des modules.
(...)
@le figaro

SUSPENSION DU MAÏS OGM

Le gouvernement a finalement suivi l'avis de la Haute autorité sur les OGM, qui préconise la suspension de la culture du maïs MON810.

Le gouvernement a décidé d'engager la procédure de suspension de la culture du maïs transgénique MON810, a annoncé vendredi soir Matignon. « Cette décision, prise en application du principe de précaution, s'appuie sur les conclusions du comité de préfiguration de la Haute autorité sur les OGM », indique un communiqué.

L'instance a en effet fait état « d'éléments scientifiques nouveaux » négatifs et a demandé des « expertises complémentaires sur les effets sanitaires et environnementaux » du MON810, le seul maïs transgénique cultivé en France à des fins commerciales. Cet avis avait aussitôt ravivé la guerre des OGM.

Le gouvernement rappelle toutefois que « les doutes sur cet OGM, actuellement cultivé en France, ne condamnent pas l'intérêt de cette technologie pour relever les défis alimentaires et environnementaux ». Aussi, le gouvernement annonce un « plan sans précédent d'investissement dans les biotechnologies végétales de 45 millions d'euros, soit une multiplication par huit des budgets actuels ».

La clause de sauvegarde, prévue dans une loi européenne de 1990 remplacée par un nouveau texte en 2001, permet d'interdire provisoirement la culture ou la vente d'un organisme génétiquement modifié, en invoquant un risque pour la santé et l'environnement. Elle est actuellement utilisée par six pays de l'UE.

Suite l'annonce de Matignon, José Bové, qui exigeait l'activation de la clause, a mis un terme à la grève de la faim qu'il avait entamée depuis le 3 janvier.
@le figaro

OVNI À L'ÎLE DU PRINCE EDWARD


@cbc et @Earthfiles

LA VIE D'UN BARIL DE PÉTROLE

Le fabuleux voyage d'un baril de pétrole, documentaire allemand de Mouhcine El Ghomri, datant de 2006, diffusé sur Arte. Il suit l'or noir depuis son origine au Koweit jusque dans une station service en Allemagne, en s'interrogeant sur les problèmes de fond que soulèvent chacune des étapes.